N’attendez pas qu’il soit trop tard

N’attendez pas qu’il soit trop tard

Mes livres


roman

200 pages, 15 x 21 cm

EUR 17



roman

320 pages, 15 x 21 cm

EUR 21



30 poèmes et 90 illustrations

120 pages, 21 x 30 cm

EUR 500


Le Tir à la corde

roman

320 pages, 15 x 21 cm

21 EUR

320

pages




5000+

heures de travail

Amalgames

roman

200 pages, 15 x 21 cm

17 EUR

200

pages




2000

heures de travail

Héra doit être folle de rage

30 poèmes & 90 illustrations originales

Tarifs en précommande :

21x 30 cm : 500 EUR

120

pages




4000

heures de travail

Pour toute commande, écrivez-moi à l’adresse suivante : vincent.dero@gmail.com

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Des tirages signés de haute qualité non-censurés

sur papier brillant prestige 260g

– 21 x 30cm (A4) : 19

– 30 x 42cm (A3) : 49

– 42 x 59cm (A2) : 99

– 59 x 84cm (A1) : 199

Des tirages signés de haute qualité non-censurés

sur papier brillant prestige 260g

– 21 x 30cm (A4) : 19

– 30 x 42cm (A3) : 49

– 42 x 59cm (A2) : 99

– 59 x 84cm (A1) : 199

Des tirages signés de haute qualité

non-censurés

sur papier brillant prestige 260g

– 21 x 30cm : 19

– 30 x 42cm : 49

– 42 x 59cm : 99

– 59 x 84cm : 199

J’ai fort apprécié le livre « Amalgames ». Le premier chapitre est plein d’humour, « Gare aux bobos » est une belle critique de la société de consommation, le quatrième m’a fait penser à « L’oeuvre » de Zola ou « L’oeuvre inachevée » de Balzac et le dernier noue l’ensemble du récit. Le roman est plein d’oecuménisme, de fraternité des peuples et d’humanisme.

À propos du Tir à la corde:

«[…] la science n’impose jamais rien, la science énonce» écrivait Schrödinger, et de poursuivre que le scientifique impose, à lui-même comme aux autres scientifiques, vérité et sincérité. C’est, me semble-t-il, sur cette même démarche que s’est engagé Vincent Dero, déjà acoquiné à la science de par sa thèse au CERN, mais cette fois-ci sur un chemin littéraire, et qui nous convie aussi, nous lecteurs.

Comme Homère dans l’Iliade, ce récit, lui aussi bien écrit, ne fait, si j’ose dire, qu’exposer et relater une fiction plausible, le plus juste possible, d’un sujet ô combien difficile et intemporel. C’est tout. C’est tout ? Il s’impose ensuite, au lecteur qui le désire, de par une sorte de révolution anti-copernicienne, de se situer, de se positionner. Et peut-être de s’approcher un peu plus de quelques vérités universelles.

Bref, ce livre est non seulement, comme diraient les anglo-saxons, un tour de force, mais, surtout, pour peu qu’on le lise suffisamment bien, nous tire vers le haut !

«Le Tir à la corde» de Vincent Dero est un livre empli de sortilèges. Qui sont ces enfants, Manon et Thomas ? Qui est ce mari, Jean ? Cet amant, Paul ? Pourquoi Jean ne s’entend-il plus avec son épouse ? Quel est le secret de famille qui unit et désunit cette famille ? Pourquoi Louise a-t-elle l’impression d’être assaillie par des « couteaux » lorsqu’elle se baigne nue dans l’océan ? Amour manqué, amour impossible, amour improbable : du viol à l’inceste en passant par l’adultère, quelle est cette famille d’apparence ordinaire, où tout menace de virer à la folie ? Vincent Dero construit son livre comme autant de poupées russes, jusqu’aux révélations finales. Un livre terrible comme la lumière à son zénith.

J’ai fort apprécié le livre « Amalgames ». Le premier chapitre est plein d’humour, « Gare aux bobos » est une belle critique de la société de consommation, le quatrième m’a fait penser à « L’oeuvre » de Zola ou « L’oeuvre inachevée » de Balzac et le dernier noue l’ensemble du récit. Le roman est plein d’oecuménisme, de fraternité des peuples et d’humanisme.

À propos du Tir à la corde:

« […] la science n’impose jamais rien, la science énonce» écrivait Schrödinger, et de poursuivre que le scientifique impose, à lui-même comme aux autres scientifiques, vérité et sincérité. C’est, me semble-t-il, sur cette même démarche que s’est engagé Vincent Dero, déjà acoquiné à la science de par sa thèse au CERN, mais cette fois-ci sur un chemin littéraire, et qui nous convie aussi, nous lecteurs.

Comme Homère dans l’Iliade, ce récit, lui aussi bien écrit, ne fait, si j’ose dire, qu’exposer et relater une fiction plausible, le plus juste possible, d’un sujet ô combien difficile et intemporel. C’est tout. C’est tout ? Il s’impose ensuite, au lecteur qui le désire, de par une sorte de révolution anti-copernicienne, de se situer, de se positionner. Et peut-être de s’approcher un peu plus de quelques vérités universelles.

Bref, ce livre est non seulement, comme diraient les anglo-saxons, un tour de force, mais, surtout, pour peu qu’on le lise suffisamment bien, nous tire vers le haut !

«Le Tir à la corde» de Vincent Dero est un livre empli de sortilèges. Qui sont ces enfants, Manon et Thomas ? Qui est ce mari, Jean ? Cet amant, Paul ? Pourquoi Jean ne s’entend-il plus avec son épouse ? Quel est le secret de famille qui unit et désunit cette famille ? Pourquoi Louise a-t-elle l’impression d’être assaillie par des « couteaux » lorsqu’elle se baigne nue dans l’océan ? Amour manqué, amour impossible, amour improbable : du viol à l’inceste en passant par l’adultère, quelle est cette famille d’apparence ordinaire, où tout menace de virer à la folie ? Vincent Dero construit son livre comme autant de poupées russes, jusqu’aux révélations finales. Un livre terrible comme la lumière à son zénith.